Avant de casser la baraque, bien des célébrités ont échoué dans leur entreprise. L'échec est la mère de toutes les réussites.
Saviez-vous que l'animatrice Oprah Winfrey, aussi célèbre que le président Obama aux Etats-Unis, s'est fait virer de son premier job à la télévision avec ce verdict sans appel : " Vous n'êtes pas faite pour la télévision ! "
Walt Disney, dont on connaît la carrière, s'est lui aussi fait licencier de son premier journal, à qui il vendait des dessins, pour manque d'imagination et d'idées ! Mieux, la première société qu'il a fondée, dans les années 20, a dû mettre la clé sous la porte. Plus tard, quand il a voulu vendre Mickey Mouse à la MGM, les producteurs lui ont rétorqué que ca ne marcherait jamais car une souris géante allait effrayer les femmes !
On pourrait multiplier à l'infini les exemples d'entrepreneurs aux débuts difficiles voir catastrophiques. Le site Business Insider(@businessinsider) en a identifié quinze, et non des moindres, tous devenus célèbres dans leur secteur.
Dans ce club très fermé de loosers magnifiques, on trouve notamment J.K. Rowling, au chômage avant le succès de la saga Harry Potter, Fred Astaire, à qui on reprocha de ne savoir ni chanter ni jouer la comédie ("sait à peine danser"), Steven Spielberg, viré de son école de cinéma, l'écrivain Stephen King, dont le manuscrit de Carrie fut refusé une bonne trentaine de fois avant de trouver un éditeur, la star des stars Michael Jordan, évincé de sa première équipe de basket, et évidemment Steve Jobs, viré d'Apple avant d'y revenir avec le succès que l'on connaît.
Enfin, on n'oubliera pas non plus Les Beatles, rejetés par leur première maison de disques, Decca, au motif qu'ils " n'avaient aucun avenir dans le show business ". C'est ce qui s'appelle être visionnaire.