Selon une étude réalisée sur 8 manuels d’économie destinés aux classes de 1ère et de Terminale par Nicolas Lecaussin, directeur du développement de l’Institut de recherches économiques et fiscales (IREF), et Lucas Léger, chargé d’études pour le think tank, les livres en question sont très partiaux et occultent le rôle de l’entrepreneur et de l’entreprise dans la création de richesses.
Ainsi, sur plus de 400 pages, l’entreprise n’occupe généralement qu’une petite dizaine de pages… Quant à l’entrepreneur, on n’en trouve aucune trace dans les manuels et aucune success story, aucune histoire d’entrepreneur n’est racontée aux étudiants, histoire de ne pas leur donner envie de se lancer. Le marché et la mondialisation ? Ils sont abordés d’un point de vue critique car « défaillants ».
Évidemment, l’État est toujours présenté comme « régulateur indispensable » donc comme acteur économique principal. Sans surprise, le mot « social » est le mot le plus utilisé dans les manuels. On l’aurait parié. Le mot« inégalités » ne doit pas être mal placé non plus ! Les auteurs des manuels sont évidemment tous enseignants et aucun représentant de l’entreprise n’a participé à la réalisation des manuels passés au crible. Enfin, la revueAlternatives Economiques détient le monopole des citations dans les manuels.
http://www.ndf.fr/
L’enseignement de l’économie est d’une pauvreté affligeante, déconnecté du réel et proche du lavage de cerveaux. Mon fils, en seconde dans une lycée privé parisien, s’est vu conseiller comme unique revue économique l’inénarrable Alternatives Economiques….revue pour bobolcheviks en mal de sensations altermondialistes….(Capital, Challenge, Les Echos, le Figaro Eco…connait pas)
Et encore, il est dans une école privée !!! Alors que dire de ceux qui sont dans le public ???
Nos enfants sont totalement « désinstruits »l dans les matières économie, histoire, géographie ;;; et pour le reste ce n’est guère plus briillant
Alternatives économiques: quelle catastrophe. Une revue pourrie de gauche, anti libérale qui ne vit que de ses potes bien implantés dans l’éducation nationale. En prépa, mon prof nous avait tous abonné à ce papier infecte. 40% de ses lecteurs sont des étudiants abonnés par leur prof. après on se demande pourquoi la France est un pays d’assisté…
Raison de plus, pour ceux dont les enfants sont dans cette classe, de se procurer dans les bourses aux livres d’autres manuels d’économie; j’ai déjà fait ce genre d’observation pour les manuels d’histoire de France.