Visiteurs  depuis Avril 2012                                   PARIS-Tech
                                                                                                                               200000  Ingénieurs  et Managers formés                                                                         

                                   Détroit du Bosphore entre Europe et Asie                                                     JOli156                       
  JOli156    
    
ø?¶Ç 2010 Copyright  W24N1 B4                                                                                               G.TISON INGENIEUR ARTS et METIERS PARISTech 
                                                                                                                               Membre du CLUB STRATEGIE

  REVUE de PRESSE  du site E-TRAV-E  http://www.entreprise-travail-emploi.com
                                                 
                                       
 
Formez-vous avant de vous lancer sur le web !Cliquez 
                                              http://www.processus-web-marketing.com/?a=joli156

 

Huit points clés pour intégrer les tablettes dans le système d’information

5/7/2012
1 commentaire

 

Imprimer Envoyer à un ami Contacter la rédaction
Par Thierry Lévy-Abégnoli le 15/02/2012 - indexel.net 
 
Huit-points-cles-pour-integrer-tablettes-dans-systeme-information

L’intégration des tablettes dans le système d’information pose des questions spécifiques au niveau des applications métiers ou bureautiques, de l’administration ou de la maîtrise des coûts.

 

1. Identifier les spécificités des tablettes

"Il y a une demande massive et croissante pour l'intégration des tablettes personnelles des collaborateurs dans le système d'information de l'entreprise",constate Charles Gresset, directeur technique et services d'Econocom. Or, la gestion de ces appareils pose des questions particulières. "Grâce au grand écran tactile, l'utilisateur peut pratiquement travailler comme sur un PC, sans souffrir des défauts de ce dernier comme la durée d'allumage, ni de ceux d'un smartphone comme le petit écran", poursuit le spécialiste. Applications et données consultées sont en outre plus variées que sur un smartphone et le sont plus souvent, ce qui induit des contraintes de sécurité et de coûts télécom plus fortes.

2. Adapter les applications Web

L'intégration des tablettes concerne d'abord les applications. En principe, les navigateurs des tablettes numériques permettent un accès à toute application Web. "Mais il faut s'en remettre à la maturité du navigateur, variable selon le système", constate Thibaud Cavin, responsable centre d'expertise mobilité chez GFI Informatique. En effet, le comportement vis-à-vis des composants Flash ou des capteurs, est disparate. En attendant que HTML 5 gomme ces différences, on peut modifier les applications afin qu'elles s'adaptent au type de terminal. "Avec un CMS, des pages pourront être dynamiquement générées pour les tablettes", précise Thibaud Cavin.

3. Donner accès aux applications Windows

Thibaud CavinCertains facteurs – contraintes de sécurité ou souhait de retrouver à l'identique l'environnement existant – orientent le choix vers un déport sur la tablette, de l'affichage d'applications Windows exécutées sur un serveur. "On répond à ce type de demande mais ce n'est pas notre vision de la mobilité car il est difficile d'utiliser des outils Windows sur une tablette", affirme Thibaud Cavin (photo). Le risque est que l'utilisateur n'utilise pas les applications.

4. Développer des applications spécifiques

Dans l'idéal, on analysera donc les véritables besoins et le ROI. "Une telle démarche aboutit généralement au développement d'applications natives pour les tablettes", affirme Thibaud Cavin. Même s'il existe des outils multi-OS comme Titanium ou PhoneGap, il faut forcément des compétences dans chaque système. "Cette problématique se prolonge en phase de maintenance et gagne en complexité dans le cadre d'une démarche ‘Bring your own device', synonyme de forte hétérogénéité", met en garde Thibaud Cavin.

5. Mettre à disposition des outils horizontaux

Charles GressetL'utilisateur souhaite retrouver sur sa tablette ses outils bureautiques ou collaboratifs habituels. Pour les seconds, la panoplie est assez complète. En revanche, les suites comme Polaris Office, QuickOffoce Pro HD ou Documents to Go, sont pour l'instant limitées et ne permettent guère que de consulter des documents Office et de procéder à quelques corrections. Quant à la gestion des documents, l'architecture fermée de l'iOS pose des difficultés. "Nous avons développé pour l'Pad, un explorateur de fichiers reçus par e-mail, avec une zone personnelle synchronisée avec le PC", explique Charles Gresset (photo). Autres solutions : les services de partage de fichiers comme Dropbox ou SugarSync.

6. Administrer les utilisateurs, la sécurité et les applications

Depuis quelques années sont apparues des plates-formes de MDM (Mobile Device Management) dédiées à la gestion des appareils sous iOS ou Android. Afaria, Good ou MobileIron gèrent ainsi le déploiement via un App Store d'entreprise ou appliquent une politique de sécurité. "Leur mise en œuvre n'est pas simple, notamment lorsqu'il s'agit de séparer les domaines personnel et professionnel", prévient Thibaud Cavin. Et d'ajouter : "Grâce à ses APIs de connexion aux MDM, l'iOS 5.0 s'en sort mieux qu'Android ou Windows Phone". De plus, la gestion des tablettes doit s'intégrer dans une démarche globale. "Il faut une approche utilisateurs plutôt que matérielle car les gens accèdent à leurs données depuis différents terminaux", affirme Frédéric Pierresteguy, directeur général de LanDesk. Le MDM doit donc s'intégrer dans la plate-forme gérant les autres terminaux.

7. Gérer l'intégration des tablettes personnelles

Frédéric PierresteguyLa distinction entre sphères personnelle et professionnelle commence par la création d'un processus d'entrée des tablettes personnelles dans le SI. On privilégiera une démarche à l'initiative de l'utilisateur et sans nécessité d'installer préalablement un logiciel. "Avec Landesk Mobility Manager, lorsque l'utilisateur essaie pour la première fois de se connecter au système d'information via sa tablette personnelle, l'accès est refusé mais il reçoit un message lui décrivant la procédure pour entrer dans le processus d'approbation", explique Frédéric Pierresteguy (photo).

8. Maîtriser les coûts

Les tablettes génèrent plus de trafic que les smartphones. Il s'agit donc de maîtriser les coûts télécom. "Les forfaits illimités étant plus chers, on s'assurera qu'ils sont nécessaires. De plus, en cas de roaming à l'étranger, il faut identifier rapidement l'envolée des coûts", affirme Charles Gresset. Il s'agit donc de générer un reporting pour savoir qui consomme quoi, ce qui permettra aussi de refacturer en interne la consommation. Cette problématique passe par l'utilisation des extranets des opérateurs, éventuellement chapeautés par des services multi-opérateurs comme en propose Econocom.

LIRE AUSSI

Partagez sur les réseaux sociaux

Catégories

Autres publications pouvant vous intéresser :

Commentaires :

Laisser un commentaire
  • provoc-acteur dit :
    05/7/2012 à 12h 12min

    il faut lire :Six questions sur le phénomène "Bring your own device"(BYOD)"qui est mentionné dans la rubrique "Lire aussi"après cet article




  • Créer un site
    Créer un site